== Pour la compréhension
du sujet, vers le problème:
Voir: L'art
et le et le beau
p.1
- p.2
- p.3
== C'est un grand
sujet qui renvoie donc à un problème fondamental: la question de
la question. Ici: comment se fait-il qu'un être raisonnable
sensiblement affecté puisse ne pas être indifférent
à ce qui n'est lié ni au plaisir (eros), ni à la morale, ni à
la connaissance?
C'est donc à l'analyse du plaisir esthétique que vous êtes
renvoyé: dire ceci est beau, c'est porter un jugement qui n'est
ni un jugement sur ce qui est agréable, ni un jugement sur ce qui
est bien, ni un jugement de connaissance qui détermine une
intuition sensible par un concept.
Il faut donc que l'homme soit capable de gratuité, de liberté,
si comme l'affirme Hegel l'art exclut le désir.
Quand je dis c'est beau, j'en appelle à la liberté de chaque
être raisonnable sensiblement affecté qui peut éprouvé une
satisfaction dans le libre exercice de sa sensibilité et de son
entendement.
-Si nous sommes
sensibles à la beauté c'est que
nous sommes capables de liberté, comme s'il y avait un sens
commun dans lequel tous les hommes communieraient au delà des
intérêts.
Bien entendu nous ne donnons jamais de corrigé et bien d'autres
perspectives sont possibles.
L'essentiel cependant c'était de dégager un problème. Sans cet
effort, la réflexion philosophique ne peut, me semble-t-il être
engagée.
- Voyez
dans la page le bonheur
compromis les 4 intérêts et leur
satisfaction.
et le 2
de cette page : sur
l'art
=> Peut-on
être indifférent à la beauté ? Qu'attendons-nous de la
contemplation d'une oeuvre d'art?
=> La
beauté d'une oeuvre d'art ... http://www.philagora.net/ph-prepa/dissert-prepas/beaute-oeuvre.php
=>
Une page synthétique: http://www.philagora.net/philo/art.php |