==
Pour la compréhension du sujet, vers le problème:
Analyser
le repentir, le pardon.
Voir le cours
l'existentialisme, en particulier
ce qui concerne Huis Clos.
et dans la même rubrique Voir Nietzsche
L'histoire au service de la vie en insistant sur l'histoire
critique qui libère du passé.
== Vous pouvez utiliser l'aide suivante en l'adaptant à
votre sujet.
Faut-il oublier le passé?
votre sujet est centré sur l'oubli, souvent présenté comme une
déficience... (ça m'échappe).
Est-ce une déficience, un acte de volonté, une force.
1)Un raison de répondre oui. La santé mentale dépend-elle de
l'oubli, chaque fois que le présent est infesté par le passé?
Véritable faculté d'inhibition active l'oubli serait "une
faculté positive Nietzsche, Généalogie de la morale, II, 1.
2) L'oubli selon Freud est un refoulement, véritable mécanisme
de défense inconscient: il ne faudrait pas oublier le passé
mais s'en libérer en le retrouvant
(lire Freud, Introduction à la psychanalyse, Chap. XVIII.
3) Quelles raisons y a-t-il de ne pas oublier le passé?
-
-
Scruter le devenir passé pour
distinguer ce qui, chez l'homme, est constant de ce qui est
modifiable, pour concentrer notre action sur ce qui est
modifiable?
- Comment le présent pourrait-il être compris si on oublie
le passé, ses racines? Le présent
n'est-il pas ce que le passé
est devenu?
- Ne pas oublier pour comprendre sa situation actuelle.
L'oubli
nous rend à la présence de ce qui est Lavelle, L'erreur de
Narcisse p.115
Le passé fournit des éléments
utiles à la compréhension du présent... Mais il n'a pas le
droit de s'affirmer pour lui même. Gursdof
Lectures: Nietzsche, Considérations inactuelles II et La généalogie
de la morale, I, 10 et II, 1. Eric Weil, Essais et Conférences, I
p.210.
===Voir les aides
le N°74. Faut-il
effacer le passé pour construire l'avenir?
et
N°86 Y
a-t-il un devoir de mémoire?
J.
Llapasset. |