== Pour
la recherche des idées:
1)
La fin du travail constitue-t-elle un idéal
social?
la fin = au sens de disparition: en finir avec...
travail = activité de l'homme, conscience et volontaire: selon
Marx:
processus du travail: activité personnelle, objet sur lequel il agit,
moyen par
lequel il agit (outil ou machine).
idéal = ce dont on poursuit la réalisation, ce mérite d'être
poursuivit, ce qu'on chasse, ce dont on se rapproche sans cesse.
social = qui convient à une société, qui mérité d'être
poursuivit par
une société (groupe d'hommes qui travaillent et échangent).
Étonnez-vous! La question mérite-t-elle d'être posée? Qui ne désire
la fin du travail?...Mais peut-on, doit-on la vouloir?
=>Recherche des idées et du plan: CLIC sur Travail. http://www.philagora.net/philo/travail.php
Idéal social=la réalisation des individus composant la société?
-Demandez-vous si c'est de la fin de la forme idéale du travail, de la
fin d'une forme sociale du travail (par ex:le travail aliéné
qu'il s'agit)
= Le travail c'est l'homme...
-Le travail comme négation, transformation du donné naturel intérieur
et
extérieur. n'est-il pas ce qui définit l'homme: être de culture, qui se
cultive et qui cultive. voir
la liberté (les figures de la liberté http://www.philagora.net/philo-bac/baclib.php
) la maîtrise de soi..
-Le travail n'est-il pas exercice de la liberté? Liberté d'un être qui
refuse de se laisser au libre cours de ses appétits. Analyser
l'attention.
Travail = désir réfréné.
-Le travail n'est-il pas articulé sur le désir qui refuse le donné du
milieu
et le transforme. Conséquence: la fin du travail ne serait-ce pas la fin
des hommes?
= Analyser la division du travail, la technique, le machinisme, la
mécanisation, la disparition de l'initiative et la disparition de
l'oeuvre.
= Distinguer le travail comme moyen de vivre et l'oeuvre comme raison de
vivre.
L'oeuvre comme manifestation de soi, extériorisation dans l'élément de
la
permanence, qui remplace avantageusement la ruineuse dialectique du maître
et
de l'esclave.
2)
Le
refus du travail a t-il un sens ?
Commencer par voir de près dans http://www.philagora.net/poche.php
le cours sur le travail (les 2 pages )en gardant à l'esprit le cours sur
le travail. http://www.philagora.net/philo-poche/pochtravail.php
Dans une société d'individus qui travaillent et qui échangent, que peut
signifier le refus du travail?
A t-il un sens, n'est-il pas contradictoire de vouloir profiter du progrès
et de compter sur le travail des autres?
Qu'est-ce qui peut motiver le refus du travail?
-Le fait que le travail soit en miettes? Aliéné, inventé par un autre
organisé par un autre... http://www.philagora.net/philo-poche/pochtravail2.php
3) Le travail permet-il d'unir les hommes?
=>Tirer les conséquence de la division du travail dans une société
en ce qui concerne les échanges.
La division du travail comme interdépendance: analyser la solidarité, le
partage des tâches; le travail bien fait, les loisirs.
=>Demandez-vous en quoi le travail divise les hommes:
-Travail intellectuel/travail manuel.
-Travail aliéné inventé par un autre, organisé par un autre, qui
profite à
un autre.
Analyser le machinisme; la concurrence; la concentration; la grève; le
capital.
Voir dans aide aux dissertations http://www.philagora.net/dissert.php
l'aide n°11 Le
travail contribue-t-il à unir les hommes ou à les diviser?
Dans philagora, dans la page synthétique express: http://www.philagora.net/philo/express.php
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