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Pour la compréhension du sujet, vers le problème:
Symbole
= ce qui est jeté avec, ce qui est évoqué par. Deux fragments
d'une poterie s'ajustent
parfaitement. Cela peut devenir un outil pour que deux de mes amis
se reconnaissent si j'ai donné un des fragments à chacun =>
Objet ou image ayant une valeur évocatrice:
La colombe
symbole de la paix.
Un symbole
donne à voir, à penser, à s'orienter vers, à se figurer ce qui
n'est que concevable: par exemple la cathédrale de Reims, symbole
de l'alliance entre le prêtre et le roi. Le pain et le vin partagé
sont le symbole de la
communion.
-
- La
religion c'est ce qui, en reliant les hommes à un
Transcendant, cherche à les relier entre eux. Le transcendant
ne pouvant être connu, la tentation est grande d'utiliser le
symbole pour l'atteindre.
D'où
la question problème :
Dans quelle mesure peut-on dire qu’un symbole représente
bien la réalité qu’il désigne.
- Quel
est son degré de vérité, d’ajustement à ce à quoi il
renvoie pour ainsi dire ?
Pour
certaines religion Dieu ne peut être représenté par des images
ou même ne peut être
nommé, car il y a toujours le risque de l’idolâtrie :
prendre le symbole pour Dieu, adorer ce qui n’est qu’une
image, adorer le veau d’or par exemple….
« Quand
un symbolisme puise ses forces dans le cœur, combien grandissent
les visions ! » Bachelard
L'encensoir,
récipient, au bout d'une chaînette, où brûle de l'encens et
que l'on balance, accentue le respect admiratif du poète devant
l'atmosphère mystique qui baigne le décor: c'est le symbole de
la prière qui s'élève vers Dieu.
=
http://www.philagora.net/lettres/correspondances.php
=
- La
Religion
Bonne
continuation.
J.
Llapasset
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