= La question
n'est pas de savoir si nous désirons tous le bonheur mais si
c'est ce que nous cherchons à atteindre par
toutes nos actions.
Ne pas oublier l'action morale qui n'a pas pour fin directe le
bonheur, mais exige le sacrifice de l'égoïsme...
le bonheur est il le but de toute action humaine?
Pour la
recherche des idées:
Le problème
n'est pas celui de la possibilité du bonheur mais de sa
qualification comme bien au dessus de tous les autres, de la vérité,
de la justice, de la beauté...
Pour cela il faudrait que le bonheur, état de satisfaction
complète d'un homme, être raisonnable sensiblement affecté,
ait une relation essentielle avec les autres biens, ou au moins
ne les contredise pas...
Par exemple, si la satisfaction naît d'une inégalité, d'une
différence, d'une supériorité ou d'une injustice (piston)
cela manifeste-il la justice? C'est un bien et non le bien.
== Le bonheur est il le bien suprême?
Choisir entre le bien et le bonheur.
Le bien c'est ce vers quoi on s'oriente, par le devoir, la vertu
qui consiste à donner la priorité à l'universel et donc à
sacrifier l'immédiat de la générosité restreinte (l'égoïsme).
On ne peut donc
que mériter le bonheur si on suit le Bien. Mais celui qui
suivrait le plaisir n'en serait pas pour cela plus heureux car
le plaisir disparaît dès qu'on l'obtient ce qui produit une
frustration, une tristesse. Mener une vie de "tonneau percé"
selon l'expression de Platon ce n'est pas être heureux.
Utiliser le BONHEUR compromis http://www.philagora.net/philo-bac/bonhcom.php
et Kant l'impératif catégorique http://www.philagora.net/philo-bac/kant-imp.php
(le devoir)
=> La
recherche du bonheur (page index)
Bon travail
:)
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