==
Pour la compréhension du sujet, vers le problème:
== Qu'est-ce
qu'un corps?
Un objet étendu,
une substance matérielle.
Sur le corps propre, je suis un corps.
1) Ce qui fait exister les choses pour moi.
2) Un objet pour autrui, un sujet pour moi.
3) "En dernier ressort, c'est aux muscles que se termine le
vouloir". Ricoeur, philosophie de la volonté, I. page 291
=>"C'est "mon corps" qui se trouve au centre
l'existence." Berger, Recherche sur les conditions de la
connaissance p.97
==
Pour cerner le sens du corps: je suis un
corps:
Sur le corps propre, je suis un corps.
1) Ce qui fait exister les choses pour moi.
2) Un objet pour autrui, un sujet pour moi.
3) "En dernier ressort, c'est aux muscles que se termine le
vouloir"; Ricoeur, philosophie de la volonté, I. page 291
=>"C'est
"mon corps" qui se trouve au centre l'existence."
Berger, Recherche sur les conditions de la connaissance p.97
= Être
et avoir
C'est la question à se poser.
Pour l'homme être revient à exister: utiliser le cours sur l'existence!
Pour l'avoir, bien saisir la pensée
de Bergson
pour qui la guerre est naturelle
et découle de l'avoir: Lecture: G. Marcel: Être et avoir
Suis-je dans mon corps comme un pilote dans un navire?
Dans la rubrique Citations
voir La
conscience A,4. Bien
lire: "La nature m'enseigne ..."
Demandez-vous: j'ai un corps ou je suis mon corps (selon
l'expression de votre sujet)?
Si j'ai un corps ne peut-il être considéré comme une machine,
un bateau dont je serai le pilote.
=> Pour quelles raisons puis-je me considérer comme un pilote
qui conduit le corps. Un "je veux" qui dirige le corps
comme un navire.
Voir la - La
conscience
, l'inconscient
, le
sujet
=>
Analyser le sentiments, la sensation: douleur par exemple. Pour
quelle raison dois-je convenir que je ne suis pas seulement un
pilote?
=> L'union de l'âme et du corps est-elle harmonie, confusion,
mélange?
J.
Llapasset
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