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Pour la compréhension du sujet, vers le problème:
Pour le
plan: Chaque partie doit être explicitement rattachée à la
question posée, dès le début, sinon elle risque de ne servir à
rien.
Il faut rester sur la question jusqu'à qu'elle ait été
comprise: qu'est-ce qu'on me demande?
= Que
signifie désirer autrui?
= Désirer autrui comme celui qui peut me désirer?
= Désirer être désiré?
= Désirer être le centre d'autrui , être au foyer de son
attention de telle manière que tout le reste bascule dans la
conscience marginale?
= Être maître de son attention, posséder
son pouvoir de faire attention, attention qui mesure son degré de
liberté?
= Désirer éprouver
ce qu'autrui éprouve dans le plaisir? Voir l'échange
amoureux
== Pour élargir :
Doit-on
respecter autrui?
Qui faut-il respecter? - Que faut-il respecter?
Autre
sujet :
On peut penser
que désirer serait bien attenter à la liberté d'autrui et
paradoxalement vouloir lui enlever ce qui fait de lui une
existence, un être de fuite, ce qui fait qu'on le désire...
Connaissance
d'autrui et liberté:
La connaissance d' autrui est elle compatible avec la
reconnaissance de sa liberté (celle d' autrui).
On vous demande de partir d'une hypothèse: la connaissance
d'autrui est possible. (?)
Si on prend
cette hypothèse comme un principe, on peut mesurer les dangers
que la connaissance d'autrui feraient peser sur sa liberté
(chantage, manipulation: savoir - prévoir - pouvoir...)
- Mais
cette connaissance d'autrui ne serait pas incompatible avec le respect d'autrui comme personne.
Pour quelqu'un qui
accomplirait son devoir la connaissance d'autrui ne changerait
rien: en effet le devoir est sur un autre plan que la
connaissance.
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J. Llapasset
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