== Pour la compréhension du sujet, vers le problème:

• 1) Il semble que non: voilà pourquoi....
  2) C'est un droit chaque fois qu'une violence nie un droit...
  3) Parfois.....

La révolte est-elle un droit.

Vous devez distinguer la révolte et la révolution.

-La révolution s'exerce contre l'État et le pouvoir qu'il exerce.

Révolution ou révolte?

- L'espoir animera toujours ceux qui adoptent le point de vue de l'État comme principe d'ordre avec pour unique origine l'État. Ils pourront toujours rêver d'une révolution qui changera l'ordre, qui rectifiera ce qui est tordu: cette révolution sera une tâche finie, une fois pour toute: les lendemains chanteront. il y a un sérieux optimisme.

-L'espoir n'est pas pour ceux qui adoptent le point de vue d'un tissu social gangrené, formé d'une légion de pouvoirs dévorant sournoisement tout espoir de justice d'une société qui détruit les libertés qu'elle devrait protéger par une multiplicité de "poux" qui se prennent pour des caciques de provinces ou des mandarins parisiens. Seules des révoltes ponctuelles pourront être tentées pour améliorer tel ou tel point en renversant tel ou tel pouvoir, mais ce sera un combat contre l'Hydre: la tâche est infinie car les révoltes n'atteindront jamais la totalité de la légion des pouvoirs et l'effort de révolte est lui même générateur d'un nouveau pouvoir.

La révolte s'exerce contre un des multiples pouvoirs qui habitent le tissu social

Peut-on admettre l'idée du droit à la révolte?

Vous pouvez largement utiliser dans "aide aux dissertations" l'aide N°79: Peut-on parfois désobéir aux lois?  

- Voici en outre une aide pour un sujet: Doit-on se venger? Violence légitime? répondre à l'injustice par l'injustice? où vous pourrez puiser

Lire Marcuse, un conflit entre deux droits