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Pour la compréhension du sujet, vers le problème:
La
parole est l'utilisation personnelle d'une langue. Toute langue
implique une conception du monde qu'elle fait apparaître. Toute
langue est reçue, conséquence pour le sujet?
Analyser le lapsus. Par exemple le président du tribunal au lieu
de dire la séance est ouverte dit la séance est levée: qui
parle? Est-il maître de ses paroles?
Nos paroles expriment-elles plus que ce que nous voulons dire?
Conséquence pour le sujet?
CLIC sur le
langage :
En
quel sens peut on dire que nos paroles dépassent notre pensée?
On vous dit "en quel sens" c'est à dire dans quelle
direction et selon quelle signification (qu'est-ce que cela
signifie).
Est-ce que les paroles disent plus que ce nous voulions dire?
Est-ce que les paroles contiennent plus que ce dont nous avions
conscience?
Dépassent, en quel sens, dans quelle direction: de ce qui
va apparaître grâce à l'effort créateur de la conscience (je
dis toujours plus que ce que j'avais préparé) ou dans le sens de
ce qui n'apparaît pas (voir conscience/inconscient
surtout l'explication.
Que peuvent révéler nos paroles? Le moi comme source de décision,
de création?
Nos racines? notre caractère?
Analyser le style que nous avons en propre, voir par exemple: http://www.philagora.net/auteurs/fontain3.php
-L'autre que moi en moi? Analyser le lapsus
=>
Peut-on
ne pas savoir ce que l'on dit? En quel sens peut on dire que nos
paroles dépassent notre pensée?
J.
Llapasset
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