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Pour la compréhension du sujet, vers le problème:
Que
serait une liberté qui ne serait pas partagée? Conséquences
pour votre sujet?
Est-on
d'autant
plus libre qu'on est indifférent au jugement d'autrui?
L'indifférence qualifie celui qui ne change pas en fonction
du regard d'autrui.
Il est évident que le contraire, (celui qui change en
fonction du regard d'autrui)
est signe d'aliénation, de lâcheté, d'esclavage à la
limite. En effet la liberté c'est le rapport entre l'action
et le moi.
=> Pour quelle raison celui qui est indifférent peut être
considéré comme libéré
du jugement d'autrui et libéré d'une pression morale
venant d'un autre (aliénation).
=> Cependant, la liberté exige un moi éclairé sur lui même,
qui arrive à se
maîtriser d'autant plus qu'il se connaît et se reconnaît.
Or la connaissance
et la reconnaissance de soi passe nécessairement par
autrui, par un jugement qui n'est d'ailleurs pas négatif.
D'autant plus que l'homme est
nécessairement
un noeud de relations 'Saint Exupéry).
Suivez dans aide aux dissert. http://ww.philagora.net/dissert.php
le N°09
Suis-je
ce que j'ai conscience d'être?
et le n°29.
Suis-je
le mieux placé pour savoir ce que je suis?
==> N'est-il
pas possible d'être ouvert au jugement d'autrui sans pour
cela perdre sa liberté, son pouvoir de décision? Alors on
pourrait dire qu'on est d'autant plus libre qu'on s'ouvre
aux jugements d'autrui de manière active, sans pour cela
les suivre
nécessairement.
= La
conscience me fait-elle connaître que je suis libre? dissertation
de philosophie
= Un
homme libre est-il un homme seul?
J.
Llapasset
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