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Pour la compréhension du sujet, vers le problème:
l'homme
se reconnaît il dans ses désirs ou dans leur maîtrise? Ayant un corps, une sensibilité l'homme peut se reconnaître
dans ses passions par les actions qu'il subit.
Ayant un esprit l'homme peut se reconnaître dans la maîtise de ses
passions
L'homme est un être raisonnable sensiblement affecté
Si passion = structure fixée de la conscience, désir devenu prépondérant
alors,
Les
désirs expriment-ils l'humanité de l'homme?
== Étonnez-vous:
comment le désir qui jaillit en moi sans que je l'ai voulu peut-il
exprimer mon humanité d'être raisonnable, libre? Si le désir est
l'essence de l'homme, comment parler de liberté si on ne peut lui échapper?
Vous pourriez commencer par lire le cours sur Le désir
Utiliser dans aide aux dissertations http://www.philagora.net/dissert.php
l'aide n° 99 en utilisant plus particulièrement la
troisième partie du devoir qui donne la solution du problème: La
maîtrise des désirs
L'humanité
c'est l'ensemble des êtres raisonnables sensiblement affectés:
l'ensemble des sujets auteurs de leur représentation de de leurs
actions.
Le désir exprime l'humanité de l'homme dans la mesure où il peut
y avoir des désirs raisonnables qui tiennent compte de la dignité
des autres, qui se réalisent en obtenant leur collaboration
par la parole, en obtenant leur consentement , en ne traitant jamais
les autres comme de simples moyens mais comme des fins en soi, que
notre action respecte parce que ils ont la dignité de la liberté
comme autonomie: "l'obéissance à la loi qu'on s'est
prescrite est liberté" Rousseau.
Devons-nous
faire confiance à nos désirs? se laisser diriger par nos désirs?
Tous
les désirs ont-ils la même valeur?
J.
Llapasset
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