1)
Qu'est-ce qui fait l'identité
de chacun de nous?
=> La
personne.
- Fin en soi, la liberté?
- Dignité, liberté, humanité .
- C'est l'homme en tant que sujet raisonnable, responsable de ses
actes, qui mérite le respect: fin et non moyen
=> Le devoir, (voir Kant
l'impératif catégorique )
=>
La présence de soi, le moi, la vie?
=> La mémoire? => La volonté, l'autonomie
comme obéissance à la loi qu'on s'est prescrite?
=> L'engagement?
=>
Est-ce la conscience morale, la volonté. Est-ce le "je suis
.
Voir: Citations
- - La Conscience
A- La conscience témoin. = Page
1
B- La conscience juge, la conscience morale = page
2
- Le sujet = page
1 et page
2
=> Est-ce la présence à soi, l'épreuve de
soi, le soi qui ne peut échapper à soi qui est dans le présent?
=> Le
JE est-il le fondement de la certitude de soi?
2) L'identité?
N'est-elle pas au coeur du changement: puis-je devenir autre si je
ne reste pas sur un certain point le même?
En quel sens pourrait-on parler de l'identité
d'un moi qui serait pouvoir de création.
Voir Sartre,
l'existentialisme est un humanisme.
Voir aussi sur la
liberté les définitions de la liberté en insistant
sur celle de Bergson, le moi créateur
Vous
devez distinguer l'identité en
logique (A = A), ou bien la permanence d'un objet unique
à travers des changements ou bien la similitude de deux
objets distincts:
distinguer l'identité de l'un et l'identité
de l'un et l'autre. Analyser en les comparant.
Quel rôle la mémoire peut-elle jouer pour établir l'identité
d'une personne?
Identité peut qualifier aussi ce qui est unique, ce qui est
original, notre permanence: il s'agit de notre caractère et de
nos souvenirs.
=>
On parle à tord de l'identité
de deux vivants mais on parlera d'un texte identique comme si la
sensation était toujours diverse et l'entendement suivait une
tendance à l'identique: sur ce point analyser le concept qui
prend ensemble une diversité sensible par un point commun.
Comme
plan:
- pour la première partie, vous
pouvez commencer par établir ce que l'identité n'est pas (par
exemple elle n'est pas l'équivalence...).
- Dans une deuxième partie vous
pouvez établir ce qu'elle est.
- La troisième partie posera le
problème de son existence. Là, vous pouvez utiliser Freud ou
Rimbaud: je est autre.
Voyez un cours sous forme de dialogue: De
l'existence au sujet
Pour
la recherche des idées: Qui
est mon prochain?
Utiliser le
cours:
La
personne
Voir
Autrui
: Cet autre qui est posé là.
- Autre que moi: le différent.
- Autre moi: mon semblable.
A la fois obstacle à mes désirs, moyen d'obtenir une fin,
partenaire pour l'action, dans le travail.
C'est le "tu" qui m'oblige au respect (le visage).
1) selon le sens du mot n'est-ce pas d'abord celui qui est près
de moi, ceux de ma culture par opposition aux étrangers?
2) Mais n'est-ce pas plutôt mon semblable, celui qui possède la
raison, une personne, une fin en soi que je dois respecter?
3) le prochain est-il n'importe quel homme car tout individu est
membre de l'humanité: c'est celui qui a des droits et envers qui
j'ai donc des devoirs?
4) Pourtant le prochain est aussi lointain car il n'est pas moi, c'est
un mystère: il y a toujours un jardin secret auquel je
ne peux accéder.
== Voir aussi Platon
le soleil la ligne la caverne
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